• C 'est horrible le Sentiment que cela me laisse de savoir que tu as choisi de te tuer plutôt que de vivre avec moi avec nous alors que je t'aimais tellement j'étais si admirative de toi... Je crois que je n'ai pas supporté de comprendre que tu étais violent et que j'étais une femme battue lorsque par ma faute, tu t'es acharné sur moi, lorsque tu lâchais tous tes coups lorsque la douleur et l'humiliation que je ressentais était si profonde, lorsque j'ai vu les marques le lendemain. Je n'ai plus pû fermer les yeux mais l'amour que j'avais pour toi m'a empêché de te quitter. Je suis restée mais j'avais peur tout le temps, j'avais peur de tout ce que je pouvais faire pour te rendre fou. Je me surveillais j'étais angoissée de plus en plus angoissée... Je sais maintenant qu'on ne devient pas fou qu'on l'est structurellement ou pas.

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  • Eh Ben je l'ai battu à plate coutume et il a faillu saigner du nez...

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  • 17 mois... Et je suis encore là J'ai crû être emportée par mes larmes J'ai crû être dévastée par mes cris Mais je suis là et je marche droit J'étais brisée sous tes cris, sous tes coups mais j'étais encensée par ton amour et ta douceur Toi mon amoureux, mon prince, ma vie, toi, mon ami Celui qui vous aime mais qui vous tue Celui qui vous désire mais qui vous déchire Celui dont la voix, dont les mots, dont la peau me manque tant Mon amour, Adieu...

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  • J'anésthésie toutes mes émotions de peur qu'elles me dévastent. Je ne pleure plus de peur de me noyer, je ne m'autorise pas à ressentir de la colère de peur de tout détruire. J'ai peur de moi, j'ai peur de ne pas y arriver. , j'ai tellement eu peur de toi mais je n'avais pas le droit de le dire tu étais tellement aimé, je ne pouvais que t'aimer et accepter ta violence sans mot dire...

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  • Tu savais déjà ce que tu allais faire, ta décision était prise, celle de nous abandonner, celle de te supprimer...Comme ça, à la fin de l'été après des vacances merveilleuses, après avoir eu autant de plaisir, après tous ces rires, après tout ce bonheur, tu as fini ta vie en étant le plus heureux possible. Je n'ai pas compris que tu ne voulais pas vieillir, que tu voulais rester beau et jeune à jamais, que tu n'aurais j'aimais 40 ans, ni cheveux blancs, que tu ne serais pas là pour fêter les 6 ans de R ni pour les 7 ans de M ni pour mes 36 ans et toutes ces années à venir... La mort nous touche trop tôt et de trop prêt, tu n'avais pas le droit de nous endeuiller, je ne veux pas de ce veuvage que tu m'imposes...

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