Si j'étais ministre, eh bien il n'y aurait que 2 jours d'école lundi et mardi puis week-end...

Après avoir voté pour Sarko en 2007 et oui on fait tous des erreurs...Et avoir commencé à déchanter dès l'annonce de son élection. Il n'est point besoin de s'appesantir sur l'épisode du Fouquet's. Cette entrée en matière du nouveau président a été extrêmement décevante pour ses soutiens dont j'étais à l'époque. Mais cela ne s'arrête pas là et je ne vais pas entrer dans le détail de la déchéance sarkosienne : Yacht, lunettes miroirs, ses épousailles avec une mannequin écervelée, ses stigmatisations ethniques, son communautarisme exacerbé et son mépris pour nous tous que nous ayons été soutien ou entrave à son accession au trône.

Le vote à droite étant un héritage culturel et familial, je me sens du coup orpheline de convictions politiques. Sans ce vote refuge et un peu automatique, celui de mes parents et de mes grands-parents... La porte est donc ouverte à tous les courants d'idée et je sens libre de pappillonner d'un candidat à l'autre et là tout devient plus compliqué.

Je me retrouve dans le discours d'Eva Joly pour une décroissance économique, le retour à une consommation durable. Envie d'un lave-linge Vedette qui dure toute une vie comme celui de mamie Jeanne et pas de ces nouveautés bourrés d'éléctronique qui m'abandonnent systématiquement au changement de quinquennat...

Désolée pour ce brouillon publié sans le vouloir #fail

Il est un peu tard pour repartir avant l'élection présidentielle...