• Je veux tout diriger,tout choisir, je ne veux plus laisser de place à la douleur, je choisis mon corps et ma solitude. Je m'y sens bien, en sécurité. Je choisis mon entourage, uniquement féminin, ma maison est ouverte à toutes, quasiment tout le temps. Les hommes n'y pénétrent plus, je leur ferme ma porte. Je leur ouvre rarement et seulement à ceux que je juge innofensifs pour mon coeur, les hommes casés et ceux qui ne me plaisent pas et qui ne seront que des amis. Et puis il y a M. qui est entré dans ma vie sans que je puisse l'en empêcher au moment le plus inopportun, le plus irréel de ma vie, il a surgit alors que je n'existais plus, que j'étais absente de ce monde, lorsque mes petits princes dormaient et que je n'avais plus aucune légitimité dans cette vie après que tu nous ais quitté, après que tu ais fuit ce monde dans cet arbre au bout d'une sangle. Il m'a fait du bien au début, il m'a permis de rester dans le déni, et puis il m'a fait du mal en s'éloignant puis en partant. mais j'ai pu accepter la réalité et croire à des jours plus heureux et même sans toi. il m'a montré que je pouvais avoir une relation normale sans toi et sans violence.Ton dernier geste à la fin des vacances dont tu n'arrêtais pas de décaler le dernier jour. Ces jours que tu volais à la vie, ces derniers jours que tu nous a offert jusqu'à ce que tu ne puisses plus réfreiner ta violence, jusqu'à ce que tu ne puisses plus arrêter ta folie. Ce jour où tu ne t'es plus contenu devant les enfants où tu as dit à notre plus jeune fils qu'il était comme toi, qu'il serait une merde comme toi, qu'il échouerait toute sa vie, qu'il ne saurait jamais lire, qu'il serait un raté, je ne comprends pas que tu ais pu penser cela de toi, je te trouvais tellement beau, tellement brillant, tellement doué, je t'admirais tellement que je pensais ne pas être à ta hauteur, ne pas mériter ma place à tes côtés. J'étais si fière à ton bras, si fière que tu ais défié ta famille et ton destin pour être avec moi, pour devenir ce nous si drôle et si joyeux, pour avoir nos deux merveilles ensemble et les élever dans le respect des petites personnes en devenir qu'ils étaient depuis leur naissance, sans projeter nos désirs et nos échecs sur eux. Tu leurs à offert ce qu'on ne t'a jamais donné une vie à eux et un amour pur sans condition, sans aucune contrepartie. Ce départ n'est pas dû à l'échec de nôtre couple, il n'est pas dû à mes adultères ni aux tiens d'ailleurs. Bien que ta famille et tous ceux qui ont refusé de t'aider malgré tes appels et tes supplications de venir nous rejoindre. Il est tellement plus simple pour eux d'accepter leurs échecs et le fait qu'ils n'ont pas répondus à tes appels de détresse. Ces deux êtres qui ont refusé d'être là, par égoïsme pur, alors que toute ta vie, quelquesoient l'heure et les circonstances tu avais été là pour eux. Ils t'ont abandonnés et ils ne se le pardonneront jamais, je ne les pardonnerais pas plus... Ils seront mon passé, de celui qui n'a aucun avenir. Ils sont rayés de notre vie, ils ne seront plus personne pour moi ni pour nos ptilous. Ils ont choisit leurs petites personnes, ils t'ont refusé le temps que tu leurs demandais par égoïsme pur, alors que quelques semaines auparavant tu leur donnais tout ton temps. Tu t'es dédié à leur faire plaisir, à les aider, à les soutenirs et quand tu t'es senti défaillir que dans un dernier sursaut tu leurs à demandé leur aide, ils te l'ont refusé. La liste est longue des personne pour lesquelles tu as dédié ton temps et toute ton énergie sans que jamais ils ne s'enquièrent de savoir comment tu te portais, si tu étais heureux. Ta joie et ta bonne humeur communicative, nous ont tous bernées. Je n'ai rien vu de ta noirceur, mis à part lors de tes accés de violence, ceux qui auraient dus m'alerter, ceux que j'ai préféré ne pas voir pour ne pas salir celui que j'aimais, ceux dont j'aurais compris la nature pathologique chez quiconque d'autre que toi. Toi, le seul être que j'idéalisais au delà de tout, celui que j'aimais plus que moi, celui qui fabriquait du bonheur avec rien, avec tout, celui dont j'acceptais l'imprévisibilité et la violence pour ces 19 années extraordinaires emplient de bonheur bien plus que de douleur. J'ai toujours crû être la seule responsable de ce sentiment de malêtre, j'ai toujours crû être celle qui provoquait les incompréhensions et le disputes, l'insatisfaite chronique, celle qui voulait toujours un nouveau projet commun, un nouvel enfant, un nouveau job, un nouvel appart. En fait tout venait du sentiment d'instabilité que ta fragilité provoquait chez moi et que je croyais être de mon fait. L'inconscient dirige nos vies beaucoup plus sûrement que ce à quoi notre conscient accède. J'ai réussi médecine, tu as échoué. Quelle injustice de me voir accéder à ton rêve alors que ce n'était pas le mien. De voir un être brillant échouer alors que j'étais bien moins intelligente mais plus travailleuse. Quelle tristesse de te voir mourir de chagrin de ne pas pouvoir réaliser ton destin et de t'empêcher de mettre fin à tes jours pour ne pas t'entendre dire par ceux qui t'ont donné la vie, mais pas à n'importe quelles conditions. Uniquement s'ils pouvaient bénéficier de ta réussite professionnelle, de ta réussite sociale. Tu n'as pas rempli les conditions tu as échoué et ils te l'ont si fréquemment répété à quel point tu étais un mauvais fils, à quel point tu ne méritais pas tout ce qu'ils avaient fait pour toi, te donner la possibilité d'étudier alors qu'eux n'avaient pas pu le faire. Quelle dureté, quelle violence d'avoir toute sa vie le rôle du vilain petit canard, de se sentir si malaimé. J'ai ressenti comme toi ce manque d'amour d'une mère et c'est ce qui nous a uni, mais comment combattre tous ces non-dits, comment lutter contre 19 ans de vie dédiés à valoriser ses parents quand les échecs s'enchainent justement parce que c'est un poids trop lourd à porter pour un petit garçon de vivre pour quelqu'un d'autre que pour soi. J'ai réussi professionnellement justement parce que je n'avais pas cette charge sur mes épaules.La réussite est impossible lorsque celle-ci est la seule raison d'être vivant. Je t'ai vu sombrer à chaque échec, ils s'ammoncelaient en toi comme toutes les raisons de ne plus vivre. J'ai crû avoir réussi à t'éloigner de ta famille toxique en créant des liens sains avec nos enfants indemnes de toute projection sur eux. Je t'ai vu lutter contre ce qu'ils faisaient et qui te rendaient fou, le chantage affectif permanent qu'ils imposaient à tous leurs petits enfants, je n'ai jamais compris que tu l'avais subi si insidieusement et depuis ta naissance, l'amour de ses parents sous condition d'un retour obligatoire. La peur chevillée au corps d'un désamour certain si ta vie n'était pas celle qu'ils t'avaient prévu, sans que cela ne soit jamais dit clairement. Tu n'étais plus que leur plus grand échec et ils te le répétez sans cesse. " Comment peux-tu, après tout ce qu'on a fait pour toi!!!" Je comprends tout mais trop tard, je comprends qu'après avoir été dans un conflit larvé avec tes parents qui ne me voulaient pas comme belle-fille, moi "La catholique" et combien tu as résisté malgré leurs menaces de te déchoir de ta filiation, toi le seul homme de ta famille. Tout le monde et surtout ta reine mère considérant ton père comme le dernier des derniers, même pas un homme mais le pire des pires. J'ai longtemps crû que "ce qu'il est bête" était la seule façon de nommer ton père. Toi le seul qui transmettrait le nom, le seul juif, le plus beau et le plus intelligent de toute ta famille malgré tout tes échecs. Comment pouvais-tu te corrompre, salir ton nom et trahir ta qualité de peuple élu avec une fille comme moi, une "catholique" celle avec qui on peut s'amuser mais certainement pas se marier, encore moins créer une lignée de goy,de surcroit, deux garçons qui porteraient le nom de ton père mais ne seraient jamais de vrais juifs. Tu n'as jamais pu dire l'échec de notre couple car c'était celui de trop, celui dont tes parents ne se relèveraient pas. Après l'échec du couple de ta soeur ainée avec son cousin germain dont quatre enfants nés de cette union et pour lequel tes parents ont pleurés pendant un an, puis celui de leur cadette avec un ignare, voyou mais juif pour lequel ils ont pleurés pendant trois ans. L'échec de nôtre couple était celui de trop, tu m'as toujours dit que tu ne pourrais pas leur dire, qu'ils ne s'en reléveraient pas. Tu as fui, tu as préféré nous quitter plutôt que de subir encore leur peine. Toi, le seul encore en couple après 19 ans, soit avec une catholique mais le seul qui avait réussi socialement, soit dit en passant uniquement grâce à l'aide financière de ma famille, mais au moins face à l'échec du couple de tes parents et tes 2 soeurs divorcées. Ils pouvaient au moins se gausser de notre immense appartement dont nous étions propriétaires et des symboles de notre réussite sociale donc de leur réussite en tant que parents. Ton suicide était la pire chose que tu pouvais leur faire et bien sâche qu'ils n'en ont rien compris et qu'ils continuent à m'appeler ta meurtrière devant nos enfants, qu'ils sont intimement persuadés que je t'ai aidé à te détruire. Qu'ils ont supprimés les lettres que tu échangeais avec ta maîtresse pour que je sois la seule coupable avec l'aide de ta meilleure amie S. Qui leur a dit que mon adultère t'avait tué. J'ai passé ma vie entière à t'aimer, à te couvrir de cadeaux, d'attentions et de toute l'affection dont j'étais capable. J'ai arrêté de faire tout ce qui me faisait plaisir si cela te peinait. J'ai cessez de faire de la clinique, de soigner des patients car cela te ramenait sans cesse à l'échec de ta vie, j'ai arrêté la photographie le jour où mes photos ont eu plus de succés que les tiennes, j'ai arrêtais de voir les amis qui te déplaisaient, il n'y avait plus que toi qui existait, je me suis annihilée afin que tu puisses vivre et malgré tout ça tu es parti. Ta violence, ta folie, tes insultes, tes coups, je les ai effacés d'un revers afin que tu puisses t'aimer, j'ai subi en silence puis j'ai oublié. L'inconscient s'est rappelé à moi par des crises d'angoisses déclenchants, pensais-je, ta violence, les pires insultes, tes coups jusqu'à ce que mes lèvres éclatent, que mon corps soit couvert d'hématomes, mes côtes brisées et ma peau brûlée par tes cigarettes, tes rapports forcés ou tous ces actes insensés comme poursuivre un chauffard, rouler à 100km/h dans des petites rues résidentielles pleines d'enfants, vouloirrouer de coups le chauffard ou mon amant, frapper un inconnu qui avait osé regarder mon cul. Oui je t'ai trompé après 18 ans de fidélité je suis aller chercher un homme dont je n'aurais pas peur, de la douceur et de la tendresse sans qu'il y ait un envers du décor. Je suis allée chercher la relation que j'aurais voulu avoir avec toi et que je n'aurais jamais plus. Tu nous imposes ton absence ad vitam eternam et je souffre du manque de toi chaque jour. Mais la seule chose dont je suis intimement certaine est que malgré la douleur qu'ont provoqué mes relations extraconjugales tu m'as pardonné et je t'ai pardonné les tiennes. Tu n'as jamais pardonné tes parents de l'amour avec contreparties qu'ils t'ont imposé, ni la conduite odieuse et indigne qu'ils ont eu à mon égard et à l'égard de nos enfants. Tu pars pour les punir et tu nous prives de ce magnifique être que tu étais et du meilleur des pères pour nos petits princes. J'ai pris la décision d'éloigner nos enfants de la toxicité de ta famille, j'aurais dû t'éloigner d'eux et je regrette chaque jour de ne pas avoir réussi à te protéger d'eux, j'en suis infiniment désolée. Je chérirai chaque jour ton souvenir et les 19 années que j'ai pu vivre à tes côtés, nos petits grandissent en sachant toute la beauté de ton âme. R. A déjâ compris à quel point tes parents sont néfastes, M. Commence seulement à le comprendre. Mon amour, même si on m'avait dit que je ne pourrais vivre que si peu de temps à tes côtés et malgré la douleur qui a parfois émaillée notre existence, j'aurais choisi de t'aimer et je suis ravie d'avoir pu grandir avec toi, entouré de ton amour et de ta beauté. J'aurais tellement aimé que tu te vois aussi Beau queje te voyais...

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  • En réussissant à vivre malgré ta perte je sais que je réussirai à survivre à tout...

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  • Peux t'on raisonnablement imputé à quiconque la responabilité d'un suicide ?

    Comment trouver une explication rationnelle à un acte aussi irrationnel?

    Pourquoi devant un suicide devons trouver un coupable ?

    Le suicide deviendrait de ce fait une réaction normale face à une agression ?

    Cette réponse deviendrait logique et compréhensible ?

    Le coupable n'est donc plus cela qui commet l'acte autoagressif mais celui qui commet un acte quelsu'il soit (canular, séparation, adultère...) qui précéderait le suicide ?

    La violence de cet acte est-il proportionnel à la violence d'un suicide ?

    Est-ce proportionnel ?

    N'est-ce pas un moyen de ne pas chercher d'autres causes plus rationnelles comme une pathologie psychiatrique sous-jacente expliquant de fait une réponse inadaptée à une violence ressentie mais disproportionnée par rapport à l'acte lui-même?

    Pour quelle raison estimeriez vous normal de vous suicider ?

    Violée à 13 ans, violentée dès l'âge de 17 ans, dont le conjoint s'est suicidé, je ne ressent pas cette envie suicidaire. Je peux la comprendre dans l'idée, avoir l'impression d'être inutile à la société, se sentir isolée. Mais dans la réalisation de cet acte, je ne comprends pas qu'on puisse se priver de voir grandir ses enfants, de se relever de l'échec de son couple ou pas, d'exister pour soi  et de recevoir chaque petit bonheur d'une nouvelle vie. Tous ces petits riens qui me font plaisir, qui ravissent mes enfants, se sentir entourée d'amis fidèles et présents même dans cette période difficile.


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  • R. à table en buvant de l'eau fait mine de tituber: "Maman j'ai bu de la boukha à la place de l'eau je suis alccolisé comme M. je ne tiens plus debout" :-)


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  • Non madame ma belle mère, non ce n'est pas normal de voler son fils nouveau né parce que le pédiatre en détectant une hépatomégalie vous demande de rester quelques jours de plus en hospitalisation afin d'explorer cette anomalie. Le simple fait que vous ne consideriez pas ce petit être comme un individu à part entière mais pas comme un prolongement de vous à qui vous pouvez imposer tout ce que bon vous semble est pathologique en soi. Il ne l'a jamais été pour vous, il n'était qu'un moyen de poursuivre votre vie, une nouvelle vie pour prolonger la vôtre, pour faire ce que vous n'aviez pas fait, pour réussir là où vous aviez échouer. Ce n'était qu'un moyen, il ne devait en rien être une entrave. Et quand il le devenait, vous vous remettiez au centre. Vous décidiez de ses études, de celui qu'il devait devenir, de celle avec qui il devait être, de ce qu'il avait le droit de manger ou pas, des amis avec qui il devait nouer ou pas des relations, de quelles fêtes devait-il respecter ou pas, de quand il devait appeler ou voir sa mère ou ses soeurs, des services qu'il devait rendre et à qui, de quelle façon il devait être un bon juif. Vous l'avez étouffer de votre amour et des contreparties pour conserver cet amour. Il devait réussir sous peine de subir vos humiliations." Ce qu'il est bête, il a encore échoué, après tout ce qu'on a fait pour lui !!!" Voilà comment il vous remercie, il se supprime, il efface sa vie, dont il n'avait pas le droit de profiter à loisir et selon ses propres désirs qui ne sont pas les vôtres qui ne l'ont jamais étaient. Il vous couvre de honte, il vous sali de sa mort, il refuse vos diktats, il se réapproprie son corps qu'il n'a jamais possédé. Non ce n'est pas normal d'interdire à un enfant de se toucher, de le forcer à porter des sous-vêtements la nuit pour bien marquer l'interdiction d'accéder à son corps. De la même façon que vous avez forcé vos filles à se marier lorsqu'elles avaient commis le péché de chair. Vous l'avez contraint à ne pas me rencontrer, à ne pas vivre avec moi, par vos mots haineux et votre conduite indigne à mon égard, vous lui avez signifié votre désaccord, il ne vous a pas écouté. Il m'a aimé plus que tout et pourtant il n'a jamais assumé ce choix, son choix de m'aimer contre vous. La naissance de nos enfants et vos mots blessants. "Tu as fait exprès d'accoucher le jour du mariage de ma fille pour gâcher sa fête". Evidemment madame, j'ai ce pouvoir là,celui de choisir le moment d'enfanter. Vos menaces "Cette fois je te préviens, tu n'accoucheras pas avant ma fille et certainement pas le jour de la brith Mila de son fils!" Quelle bêtise, quelle méchanceté, la façon dont vous traitiez nos enfants moins bien que vos autres petits enfants, les vrais juifs, pas des petits batards comme les nôtres. La mort de S. n'aurat eu que cela de bon, ils sont devenus juifs, du jour au lendemain. Vous m'avez déchu de mon statut de mère, ils sont devenus les enfants de S. Et maintenant vous avez besoin de les voir car ils sont la seule chose, j'utilise le terme que vous continuez d'employer pour parler de nos enfants et vos phrases assassines que je ne supporte plus " Merci de me passer, de m'envoyer, de déposer les enfants de S. " Non madame, non mes enfants ne seront pas des moyens de vous valoriser et de briller en société. Non vous avez déjà détruit vos trois enfants et six de vos petits enfants , vous ne détruirez pas nos enfants. je ne vous laisserai pas faire. Vous aurez beau les monter contre moi, dire que je suis responsable de la mort de mon amoureux, essayer d'acheter leur amour par des cadeaux , leur répéter qu'ils sont devenus juifs depuis que je suis veuve, les entretenir dans l'idée que leur père était croyant et qu'il respectait toutes les fêtes juives. Ils ne vous croient pas, ils ne vous ont jamais crû, ils ne vous croiront jamais. Ils sont et resteront des êtres libres qui décideront seuls de leur destinée, ils pourront choisir leur présent et leur avenir. Je ne serai pas cette mère pour qui l'amour se monnaie contre une réussite sociale et professionnelle pour briller devant les autres. Non ils ne seront pas duppes de vos manipulations, ils ne seront pas victimes de vos perversions. Plus personne ne l'est d'ailleurs, ni les gendarmes que vous avez appelé pendant un mois tous les jours pour dire que j'avais tué mon amoureux et qu'il fallait réouvrir l'enquête. Ils m'ont appelé pour me dire à quel point vous étiez "dérangés et complétement fous" et qu'il fallait que je me protège moi et mes enfants en nous éloignant de vous. C'est fait, non vous ne pourrez plus justifier la psychose de S. sa violence et la légitimer aux yeux de ma famille par mon adultère. Non madame on ne devient pas fou, on l'est structurellement ou pas et cette pathologie survient dans la toute petite enfance, vous ne le savez pas, ce n'est pas de votre faute, j'en conviens, vous n'avez pas pu accéder à des études supérieures. Néanmoins votre culpabilité reste entière. Oui S. a essayé de mettre fin à ses jours en se rendant chez vous pour vous annoncer qu'il avait raté son concours de médecine et vous le savait parfaitement, ce soir là malgré les larmes qui rongeaient son visage, vous n'avez encore pensé qu'à vous " Oulalia il a encore raté celui- là après tout ce qu'on a fait pour lui, il n'est même pas capable de réussir quoi que ce soit". Non madame ce n'est pas normal d'annihiler un être de cette façon, il n'existait pas pour satisfaire vos désirs même si vous l'avez conçu et élevé pour cela. Non madame, il n'est pas parti parce que je l'ai trompé mais parce qu'il était malade, rongé entre le désir de satisfaire vos envies et les siennes. Il s'est tué parce qu'il nous aimait vraiment mais qu'il avait été tellement violent que j'allais le quitter, il s'est tué pour nous protéger de sa folie, il s'est tué pour vous punir de ne pas l'avoir laissé libre, il s'est tué pour ne pas vous dire qu'il avait échoué avec moi et pour que vous ne lui disiez pas " Tu vois nous avions raison jamais tu n'aurais dû rester avec cette catholique !" Il m'avait demander d'être incinéré alors qu'il savait très bien que cela était interdit dans la religion juive. Vous avez menti au rabbin en disant que je l'avait tué afin qu'il puisse être enterré dans le carré juif. Vous avez menti aux pompes funèbres en disant que vous êtiers les héritiers testamentaires afin de pouvoir l'enterré alors que vous saviez qu'il souhaitait être incinéré et que vous saviez pertinemment que je m'opposerais à l'enterrement pour respecter son désir. Vous m'avez dit " Son corps nous appartient." Non madame, vous avez pensé posséder S. et il a préféré vous échapper, fuir plutôt que de subir vos critiques perpetuelles à chacun de ses choix qui ne vous convenez pas. Non madame, il ne vous appartenait pas et il ne vous appartiendras jamais. Votre pouvoir de nuisance sur notre famille s'arrête là, les enfants comprennent seuls combien vous êtes néfastes, sans même que je ne leur parle de vous. Vous n'existez qu'une fois par mois, une soirée où je suis meurtrie de douleur du fait qu'ils doivent subir votre bêtise, votre méchanceté, votre folie, votre aigreur, votre tristesse que vous avez provoqué par votre égoïsme. S'il ne tenait qu'à moi, vous n'auriez plus jamais croisé nos enfants, mais les psy sont unanimes, ils doivent vous cotoyer pour comprendre pourquoi leur père s'est suicidé. C'est l'unique raison pour laquelle ils subissent votre présence mensuelle et c'est déjà trop à mon goût. Pour reprendre les mots des psy c'est une famille extrêmement pathologique, vous êtes les seuls à ne pas vous en rendre compre tant vous vivez dans un monde étriqué, nourrit comme vous l'êtes de racisme et de haine envers l'autre, et du sentiment de supériorité maladif du "soit-disant" peuple élu qui vous permet de ne jamais vous remettre en question et de reporter tout sur l'autre, l'étrangère Moi. La communauté vous soutient, enfin juste la partie inculte de la communauté, les autres, les intelligents, les cultivés, les brillants vous haïssent encore plus que moi. Quand le rabbin lors de l'enterrement illégal de S. a dit, après m'avoir interdit de parler n'étant pas juive, que celle qui était responsable de sa mort était celle qui l'a éloigné de la religion donc Moi. J'étais tellement choqué que je n'ai rien dit. Un monsieur s'est penché vers moi et m'a glissé dans l'oreille "Aujourd'hui j'ai honte d'être juif." Non madame vous n'aviez pas le droit de le priver de lui même !!!


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