• Lettre à ma belle mère enfin belle n'est pas le terme adéquat

    Non madame ma belle mère, non ce n'est pas normal de voler son fils nouveau né parce que le pédiatre en détectant une hépatomégalie vous demande de rester quelques jours de plus en hospitalisation afin d'explorer cette anomalie. Le simple fait que vous ne consideriez pas ce petit être comme un individu à part entière mais pas comme un prolongement de vous à qui vous pouvez imposer tout ce que bon vous semble est pathologique en soi. Il ne l'a jamais été pour vous, il n'était qu'un moyen de poursuivre votre vie, une nouvelle vie pour prolonger la vôtre, pour faire ce que vous n'aviez pas fait, pour réussir là où vous aviez échouer. Ce n'était qu'un moyen, il ne devait en rien être une entrave. Et quand il le devenait, vous vous remettiez au centre. Vous décidiez de ses études, de celui qu'il devait devenir, de celle avec qui il devait être, de ce qu'il avait le droit de manger ou pas, des amis avec qui il devait nouer ou pas des relations, de quelles fêtes devait-il respecter ou pas, de quand il devait appeler ou voir sa mère ou ses soeurs, des services qu'il devait rendre et à qui, de quelle façon il devait être un bon juif. Vous l'avez étouffer de votre amour et des contreparties pour conserver cet amour. Il devait réussir sous peine de subir vos humiliations." Ce qu'il est bête, il a encore échoué, après tout ce qu'on a fait pour lui !!!" Voilà comment il vous remercie, il se supprime, il efface sa vie, dont il n'avait pas le droit de profiter à loisir et selon ses propres désirs qui ne sont pas les vôtres qui ne l'ont jamais étaient. Il vous couvre de honte, il vous sali de sa mort, il refuse vos diktats, il se réapproprie son corps qu'il n'a jamais possédé. Non ce n'est pas normal d'interdire à un enfant de se toucher, de le forcer à porter des sous-vêtements la nuit pour bien marquer l'interdiction d'accéder à son corps. De la même façon que vous avez forcé vos filles à se marier lorsqu'elles avaient commis le péché de chair. Vous l'avez contraint à ne pas me rencontrer, à ne pas vivre avec moi, par vos mots haineux et votre conduite indigne à mon égard, vous lui avez signifié votre désaccord, il ne vous a pas écouté. Il m'a aimé plus que tout et pourtant il n'a jamais assumé ce choix, son choix de m'aimer contre vous. La naissance de nos enfants et vos mots blessants. "Tu as fait exprès d'accoucher le jour du mariage de ma fille pour gâcher sa fête". Evidemment madame, j'ai ce pouvoir là,celui de choisir le moment d'enfanter. Vos menaces "Cette fois je te préviens, tu n'accoucheras pas avant ma fille et certainement pas le jour de la brith Mila de son fils!" Quelle bêtise, quelle méchanceté, la façon dont vous traitiez nos enfants moins bien que vos autres petits enfants, les vrais juifs, pas des petits batards comme les nôtres. La mort de S. n'aurat eu que cela de bon, ils sont devenus juifs, du jour au lendemain. Vous m'avez déchu de mon statut de mère, ils sont devenus les enfants de S. Et maintenant vous avez besoin de les voir car ils sont la seule chose, j'utilise le terme que vous continuez d'employer pour parler de nos enfants et vos phrases assassines que je ne supporte plus " Merci de me passer, de m'envoyer, de déposer les enfants de S. " Non madame, non mes enfants ne seront pas des moyens de vous valoriser et de briller en société. Non vous avez déjà détruit vos trois enfants et six de vos petits enfants , vous ne détruirez pas nos enfants. je ne vous laisserai pas faire. Vous aurez beau les monter contre moi, dire que je suis responsable de la mort de mon amoureux, essayer d'acheter leur amour par des cadeaux , leur répéter qu'ils sont devenus juifs depuis que je suis veuve, les entretenir dans l'idée que leur père était croyant et qu'il respectait toutes les fêtes juives. Ils ne vous croient pas, ils ne vous ont jamais crû, ils ne vous croiront jamais. Ils sont et resteront des êtres libres qui décideront seuls de leur destinée, ils pourront choisir leur présent et leur avenir. Je ne serai pas cette mère pour qui l'amour se monnaie contre une réussite sociale et professionnelle pour briller devant les autres. Non ils ne seront pas duppes de vos manipulations, ils ne seront pas victimes de vos perversions. Plus personne ne l'est d'ailleurs, ni les gendarmes que vous avez appelé pendant un mois tous les jours pour dire que j'avais tué mon amoureux et qu'il fallait réouvrir l'enquête. Ils m'ont appelé pour me dire à quel point vous étiez "dérangés et complétement fous" et qu'il fallait que je me protège moi et mes enfants en nous éloignant de vous. C'est fait, non vous ne pourrez plus justifier la psychose de S. sa violence et la légitimer aux yeux de ma famille par mon adultère. Non madame on ne devient pas fou, on l'est structurellement ou pas et cette pathologie survient dans la toute petite enfance, vous ne le savez pas, ce n'est pas de votre faute, j'en conviens, vous n'avez pas pu accéder à des études supérieures. Néanmoins votre culpabilité reste entière. Oui S. a essayé de mettre fin à ses jours en se rendant chez vous pour vous annoncer qu'il avait raté son concours de médecine et vous le savait parfaitement, ce soir là malgré les larmes qui rongeaient son visage, vous n'avez encore pensé qu'à vous " Oulalia il a encore raté celui- là après tout ce qu'on a fait pour lui, il n'est même pas capable de réussir quoi que ce soit". Non madame ce n'est pas normal d'annihiler un être de cette façon, il n'existait pas pour satisfaire vos désirs même si vous l'avez conçu et élevé pour cela. Non madame, il n'est pas parti parce que je l'ai trompé mais parce qu'il était malade, rongé entre le désir de satisfaire vos envies et les siennes. Il s'est tué parce qu'il nous aimait vraiment mais qu'il avait été tellement violent que j'allais le quitter, il s'est tué pour nous protéger de sa folie, il s'est tué pour vous punir de ne pas l'avoir laissé libre, il s'est tué pour ne pas vous dire qu'il avait échoué avec moi et pour que vous ne lui disiez pas " Tu vois nous avions raison jamais tu n'aurais dû rester avec cette catholique !" Il m'avait demander d'être incinéré alors qu'il savait très bien que cela était interdit dans la religion juive. Vous avez menti au rabbin en disant que je l'avait tué afin qu'il puisse être enterré dans le carré juif. Vous avez menti aux pompes funèbres en disant que vous êtiers les héritiers testamentaires afin de pouvoir l'enterré alors que vous saviez qu'il souhaitait être incinéré et que vous saviez pertinemment que je m'opposerais à l'enterrement pour respecter son désir. Vous m'avez dit " Son corps nous appartient." Non madame, vous avez pensé posséder S. et il a préféré vous échapper, fuir plutôt que de subir vos critiques perpetuelles à chacun de ses choix qui ne vous convenez pas. Non madame, il ne vous appartenait pas et il ne vous appartiendras jamais. Votre pouvoir de nuisance sur notre famille s'arrête là, les enfants comprennent seuls combien vous êtes néfastes, sans même que je ne leur parle de vous. Vous n'existez qu'une fois par mois, une soirée où je suis meurtrie de douleur du fait qu'ils doivent subir votre bêtise, votre méchanceté, votre folie, votre aigreur, votre tristesse que vous avez provoqué par votre égoïsme. S'il ne tenait qu'à moi, vous n'auriez plus jamais croisé nos enfants, mais les psy sont unanimes, ils doivent vous cotoyer pour comprendre pourquoi leur père s'est suicidé. C'est l'unique raison pour laquelle ils subissent votre présence mensuelle et c'est déjà trop à mon goût. Pour reprendre les mots des psy c'est une famille extrêmement pathologique, vous êtes les seuls à ne pas vous en rendre compre tant vous vivez dans un monde étriqué, nourrit comme vous l'êtes de racisme et de haine envers l'autre, et du sentiment de supériorité maladif du "soit-disant" peuple élu qui vous permet de ne jamais vous remettre en question et de reporter tout sur l'autre, l'étrangère Moi. La communauté vous soutient, enfin juste la partie inculte de la communauté, les autres, les intelligents, les cultivés, les brillants vous haïssent encore plus que moi. Quand le rabbin lors de l'enterrement illégal de S. a dit, après m'avoir interdit de parler n'étant pas juive, que celle qui était responsable de sa mort était celle qui l'a éloigné de la religion donc Moi. J'étais tellement choqué que je n'ai rien dit. Un monsieur s'est penché vers moi et m'a glissé dans l'oreille "Aujourd'hui j'ai honte d'être juif." Non madame vous n'aviez pas le droit de le priver de lui même !!!


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