• Dis-leur toi...

    Comment tu t'es fait aimer de mon monde afin que je ne puisse jamais dire toutes les blessures narcissiques, l'instabilité affective, les insultes et les coups... On me reproche de n'avoir rien dit... je voulais juste que tu ailles bien... j'ai subi puis occulté soigneusement jusqu'à ce que je n'en puisse plus... Pourquoi je n'ai jamais rien dit ! Mais qui m'aurait cru, nous le couple parfaiten société et quand la porte se refermait sur nous, comment dire la douleur, la méchanceté, la peur... Je paraissais malade avec toutes mes angoisses, mes désirs de changements répétés de tout, tout le temps de travail, d'appartement...Même après ton geste, personne n'arrive à accepter que tu n'étais pas que comme ils te connaissaient... Ta noirceur, ton dégout de toi qui n'apparaissait qu'en dégout de moi. Moi, cet être si mauvais, qui ratait tout à tes yeux, qui n'était jamais assez bien, qui t'avait éloigné de ta vie, qui t'avait mis en échec... J'étais responsable de tout tes mauvais côtés et je le croyais vraiment... Je reste cette mauvaise personne dans le coeur de ta famille, de certains de tes amis et même de mes amis chéris, ceux pour qui j'aurais été là à chacune seconde s'ils avaient eu à vivre ce que je traverse... Ils préfèrent te garder dans leur mémoire comme cet être iréel que tu étais en public, cette perfection, cettte gentillesse, cettte générosité, cette drôlerie, elle n'existait chez toi que parce que tu te déchargeais du mauvais sur moi... Tu étais aussi charmant que profondément destructeur... Ton emprise était telle qu'elle perdure même au-delà de toi... Je reste coupable de ce que tu m'as fait subir.  </p


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